Dans « accidents du travail » il y a travail.  C’est la particularité de ce drame.
Le travail comme moyen de vivre est nécessaire pour assurer le quotidien.
Mais c’est aussi le travail comme moyen d’échange indispensable à la production de moyens matériels ou immatériels au service de tous.
C’est aussi ce travail émancipateur, qui nous rend libres, pour l’accomplissement de chacun d’entre nous.
Qu’il soit manuel, scientifique ou artistique de part notre créativité, il nous rend notre dignité.
C’est au nom du travail que nous combattons pour le respect de l’intégrité des salariés.
Nous avons besoin d’être nombreux pour construire une culture de prévention et ne plus accepter de partir au travail pour ne plus jamais rentrer.

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